Coupe du Monde de pâtisserie.

Coupe du Monde de pâtisserie.

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Encore une fois, j’ai assisté à une finale relevée au sein de l’espace des chefs du salon SIRHA. Une finale et 17 équipes sélectionnées. Sur deux jours, chacune des nations aligne 3 pâtissiers : un spécialiste de la crème glacée, un expert en sucre et un chocolatier, en leur donnant l’opportunité de présenter leur talent, leur technique et leur culture.

Vitrine de l’art pâtissier, le concours permet en même temps de se faire remarquer et pourquoi pas d’intégrer une maison prestigieuse. Car, au delà de ces compétitions jonglant avec les équilibres (de goûts, de couleurs et d’accords), les fragilités et les pressions chronométrées, c’est aussi être au coeur d’un show réunissant les sommités de cet univers: Pierre Hermès, Cedric Grolet, Sofia Cortina, Emmanuel Forcone, Aurélie Collomb-Clerc, Mauro Colagreco, Tom Meyer…

Cette année, j’oeuvrais au nom d’un média chilien et avais en charge le suivi des délégations sud américaines. Mais pas seulement, puisque j’accompagnais aussi le team Maroc mené par l’extraordinaire Kamal Rahal Essoulami.

Les candidats avaient dix heures pour préparer 42 desserts de dégustation (dont des “sucettes glacées“) et trois pièces artistiques, dont l’une en glace hydrique sculptée sur le thème du changement climatique. Le Japon sort vainqueur devant la France et l’Italie.

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